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Comprendre et gérer le complexe d'oedipe - JP LE BON
Dans cette vidéo, nous discutons du complexe d'Œdipe et de la façon de le gérer. Le complexe d'Œdipe est un terme psychologique qui a été inventé par Sigmund Freud. Il fait référence au désir d'un garçon d'avoir des relations sexuelles avec sa mère et de tuer son père. Ce concept peut être difficile à comprendre et à gérer pour les parents, mais il existe des moyens de s'assurer que le complexe ne cause pas trop de dommages. Nous vous apportons des solutions dans cette vidéo.
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CONTENU DE LA VIDÉO :
Aujourd’hui nous abordons un sujet qui concerne la relation parents / enfant et dont les parents ne sont pas toujours conscients.
Il s’agit du complexe d’œdipe, c’est-à-dire de la période où l’enfant tombe amoureux de son parent du sexe opposé et émet des sentiments de haine envers son parent du même sexe.
Dans cette vidéo, vous apprendrez à comprendre et gérer le complexe d’œdipe.
Constat :
Le complexe d'Œdipe est un terme psychologique inventé par Freud et inspiré de la mythologie grecque. Il fait référence aux sentiments d'Amour et de haine d'un enfant envers ses parents.
Le complexe d'Œdipe est généralement vécu par les enfants entre l'âge de trois et six ans.
Il peut être vécu de façon plus ou moins intense selon la personnalité de l’enfant ainsi que des circonstances qui feront que le parent est omniprésent ou au contraire absent.
Tous les enfants le vivent mais chez certains enfant il est possible que cela passe totalement inaperçu alors que ce sera plus flagrant chez d’autres.
Le complexe d’oedipe apparaît généralement vers l’âge de 3 ans où l’enfant commence à reconnaître des différences en observant par exemple les cheveux, la peau, le yeux etc…
A cet âge il est donc également curieux concernant la nudité. Il observe alors les parties génitales des autres enfants ou de ses parents.
Le jeu de pouvoir de l’enfant sur ses parents commence également entre 3 et 6 ans. Ce jeu de pouvoir consiste par exemple à vous mettre en colère. Il prend alors conscience qu’il a ce pouvoir sur vous.
Il entretient alors un désir de plaire et veut montrer qu’il peut aimer, posséder, s’opposer ou rejeter.
C’est pendant cette phase qu’il va être attiré par son parent du sexe opposé et avoir tendance à rejeter son parent du même sexe.
C’est donc pendant cette phase qu’il exerce son pouvoir de séduction en même temps qu’il rejette son rival.
C’est vers l’âge de 4 ans que l’enfant va pouvoir s’exprimer et commencer à faire savoir que c’est « mon papa » ou « ma maman », qu’ils veulent se marier avec eux un jour etc…
L’enfant vit en fait des sentiments contradictoires envers le parent du même sexe, autant qu’il souhaite le voir disparaitre pour prendre sa place, autant qu’il l’aime malgré tout.
Plus rarement, les enfants peuvent vivent le complexe d’œdipe inversé.
Comment gérer le complexe d’œdipe ?
Vers l’âge de 6 ans, le complexe d’œdipe disparait naturellement.
Comme il commence à comprendre les règles de vie en société, il comprend ce qui est autorisé et ce qui est interdit.
Comme il comprend qu’il ne peut pas se marier avec son papa ou sa maman, il abandonne cette idée.
Comme il côtoie également d’autres enfants, il s’identifie davantage à eux.
A ce moment-là, l’hostilité qu’il éprouvait envers son parent du sexe opposé se transforme en admiration. Il va alors chercher à lui ressembler.
Vous pouvez aider votre enfant à vivre cette phase de sa vie en appliquant ces conseils :
• Soyez compréhensif et bienveillant au sujet du comportement de votre enfant, mais ne cédez pas à ses désirs.
• Eclaircissez la situation : « Mon amoureux c’est papa. Toi aussi tu auras un jour une amoureuse ».
• Ne permettez à l’enfant de vous séparer lorsque vous êtes l’un contre l’autre.
• Occupez-vous à tour de rôle de votre enfant afin qu’il n’y ait pas d’exclusivité.
• Ne vous fâchez pas face au comportement de votre enfant. Rappelez-vous qu’en le faisant, vous lui donnez du pouvoir.
• Encouragez les activités mère / fille et père / fils afin que l’enfant puisse s’identifier plus facilement.
• Créez des repères parent / enfant : « Tu n’as pas le droit de m’embrasser sur la bouche. C’est juste papa qui est mon amoureux qui peut le faire ».
• Encouragez votre enfant lorsqu’il cherche à exprimer son identité.
• Rassurez tous les 2 votre enfant en lui disant que vous l’aimez en tant qu’enfant et qu’un jour, lorsqu’il sera grand, il pourra lui aussi avoir son amoureux ou amoureuse.
• Ne vous laissez pas affecter par le comportement de votre enfant. C’est un passage obligé dans son développement, votre rôle est de l’accompagner à traverser cette période de la meilleure façon qui soit.
Source https://naitreetgrandir.com/
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Votre adolescent a aussi des droits - JP LE BON
Aujourd’hui nous abordons un sujet dont nous parlons peu. Si vous êtes parent, il s’agit des droits de vos enfants.
Dans cette vidéo vous allez découvrir quels sont ces droits.
Constat :
Nous savons qu’en France, les parents sont responsables des enfants jusqu’à leur majorité, c’est-à-dire jusqu’à leurs 18 ans.
Ceci dit, même si nous sommes responsables de leurs faits et gestes, nos enfants ont aussi des droits. Ces droits sont protégés par la loi.
Les droits des enfants sont définis par la Convention internationale des droits de l’enfant du 20 novembre 1989 adoptée par l’Assemblée Générale des Nations Unies.
Ce sont des droits communs à toute l’humanité.
La Convention internationale des droits de l’enfant a défini qu’un enfant est un Être humain dont l’âge se situe entre sa naissance et sa majorité (variable selon les cultures).
Voici la liste des 8 droits fondamentaux des enfants :
1. Le droit à la vie : C’est la chance de pouvoir vivre sa vie. C’est le droit pour les enfants de ne pas être tués, mais c’est aussi, le droit de survivre et de se développer convenablement.
2. Le droit à l’éducation : Permet à chaque enfant de recevoir une instruction, de s’épanouir dans sa vie sociale et de construire son avenir.
3. Le droit à l’alimentation : C’est le droit, de manger, de ne pas mourir de faim, et de ne pas souffrir de malnutrition. Pour information, toutes les 5 secondes un enfant meurt de faim dans le monde.
4. Le droit à la santé : Permet aux enfants d’être protégés contre la maladie et de s’épanouir pour devenir des adultes en bonne santé, contribuant ainsi au développement de sociétés plus dynamiques.
5. Le droit à l’eau : Droit à une eau saine et de qualité, ainsi que le droit à des moyens d’assainissement adéquats.
6. Le droit à l’identité : Le droit d’avoir un nom, un prénom, une nationalité et de connaître ses parents.
7. Le droit aux libertés : Les enfants ont le droit de s’exprimer, d’avoir une opinion propre, d’avoir accès aux informations et de participer aux décisions qui les concernent. Les enfants ont aussi le droit à la liberté de religion.
8. Droit à la protection : Chaque enfant a le droit à un environnement protecteur pour préserver son bien-être.
Même si les enfants ont tous les mêmes droits dans le monde entier, ces droits sont bafoués dans certains pays.
La pauvreté est le principal facteur de violation des droits de l’enfant.
De nombreux problèmes persistent comme le travail des enfants, la discrimination, la maltraitance, la mortalité infantile ou encore l’exploitation sexuelle des enfants.
Des protocoles ont été ajoutés à cette convention :
• Implication dans des conflits armés
• La vente d’enfants, la prostitution, la pornographie
• La procédure de présentation des communications qui permet à tout enfant de déposer une communication individuelle devant le Comité des Droits de l’Enfant.
o Si un enfant estime qu’un de ses droits fondamentaux a été violé, il peut alors déposer une plainte devant le Comité. Il doit au préalable avoir saisi une juridiction nationale et si celle-ci n’a pas aboutie, il pourra déposer plainte auprès du comité des droits de l’enfant des Nations-Unies. -
Quels sont les besoins fondamentaux des adolescents - JP LE BON
En tant que parents, nous avons souvent tendance à penser que nos ados sont complètement à côté de la plaque. Mais avons-nous pris le temps de chercher à nous mettre à leur place ? Place que nous occupions d’ailleurs il y a quelques années.
Nous abordons aujourd’hui un sujet essentiel pour l’épanouissement de vos adolescents.
A la fin de cette vidéo, vous saurez quels sont les besoins fondamentaux de vos ados et comment les aider à les combler.
Constat :
Il y a souvent un grand décalage entre la façon de penser d’un adulte et celui d’un ado.
Lorsque des parents viennent me voir pour solutionner les problèmes qu’ils ont avec leur ado, je leur demande de se rappeler de l’époque où ils étaient eux-mêmes adolescent et de me dire comment ils auraient agis à l’époque.
Il se trouve que le comportement qui les dérange aujourd’hui est le même que celui qu’ils auraient adoptés eux-mêmes à l’époque.
Combien de fois les parents cherchent non pas à comprendre leur ado mais à les faire entrer dans un moule.
Lorsque vous cherchez à faire que votre ado vous ressemble (goûts, choix de vie, opinions…), vous lui privez de sa plus belle ressource, sa liberté d’être lui-même.
L’Être humain a beaucoup de difficultés à accepter les différences.
Nous cherchons constamment à vouloir changer l’autre afin qu’il nous ressemble.
Donc, cette façon de faire, vous allez l’appliquer inconsciemment à votre ado.
Mais cette façon de faire de l’ego est fondamentalement opposée à l’atteinte d’une vie épanouie.
Pour des relations humaines réussies, vous devez impérativement remplacer ce concept par : « comment puis-je m’adapter à la façon de penser de l’autre ».
Concernant votre adolescent, vous allez devoir faire pareil. Cherchez à le comprendre plutôt que de chercher à le changer. Et pour cela, vous allez devoir découvrir quels sont ses besoins fondamentaux.
Ce que vous avez essayé :
Peut-être que vous avez essayé de prendre les devants en vous disant que vous devinez bien ce dont il a besoin et que vous vous chargez de lui donner tout cela en étant fier(e) de vous.
Imaginez par exemple que vous lui achetiez des vêtements qu’il ne choisit pas lui-même.
Vous allez le faire selon vos goûts, qui n’ont peut-être rien à voir avec les siens.
Même si vous parvenez à trouver ce qui lui plait, en le faisant, il percevra que vous le prenez encore pour un enfant. Il se dira alors « Papa ou maman pense que je ne suis pas assez grand(e) pour choisir mon linge tout(e) seul ? ».
En pensant faire plaisir, vous n’avez fait que créer de la frustration et de la résistance chez votre ado.
Comment faire ?
Pour comprendre un adolescent, vous devez vous mettre à sa place et surtout, dialoguer avec lui pour connaître ses besoins.
Je dis bien dialoguer, ce qui signifie que vous devez le questionner, pratiquer l’écoute active et SURTOUT respecter sa façon de penser.
Ce dont a besoin un adolescent, c’est de se prouver à lui-même et au monde qui l’entoure qu’il est adulte, donc qu’il est en mesure d’avoir ses propres goûts, qu’il sait prendre ses propres décisions, bref, qu’il existe à part entière.
Pour connaître ses besoins fondamentaux, vous devez lui poser la question : « De quoi as-tu besoin ? Qu’est-ce qui te permettrait d’être plus heureux ? ».
Lorsque vous aurez identifié ses besoins, ne cherchez pas à y répondre à tout prix mais aidez-le à trouver les solutions par lui-même.
Par exemple, avec le désir d’appartenance à un groupe ou pour éviter de se sentir rejeté, il voudra peut-être porter des vêtements de marque.
A ce moment-là, aidez-le à trouver un moyen de se payer ces vêtements (petit boulot, tondre la pelouse, donner un coup de main supplémentaire à la maison…).
Etant donné qu’un adolescent est un jeune adulte, ses besoins seront de façon générale identiques à ceux d’un adulte, à savoir :
• Besoins physiologiques (manger, boire, dormir)
• Besoins de sécurité (se sentir fort et en sécurité)
• Besoins d'amour et d'appartenance (être aimé et ne pas se sentir rejeté)
• Besoins d'estime de soi (s’apprécier, comprendre qu’il existe à part entière)
• Besoins d'actualisation de soi (donner un sens à sa vie, réaliser son plein potentiel) -
Enfants / Ados Les règles à mettre en en place rapidement pour l’utilisation des écrans - JP LE BON
Dans cette vidéo, nous abordons les règles que les parents devraient mettre en place rapidement pour l'utilisation des écrans avec leurs enfants et adolescents. Nous abordons divers sujets, tels que les limites d'utilisation des appareils, le moment où il faut autoriser le temps passé devant l'écran, les types de contenus appropriés, et bien plus encore !
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CONTENU DE LA VIDÉO :
Quel grand sujet que nous abordons aujourd’hui ! J’entends régulièrement les parents se plaindre du fait que leurs enfants sont accros aux écrans.
A la fin de cette vidéo, vous saurez quoi faire pour mettre en place rapidement les règles nécessaires à l’utilisation des écrans.
Constat :
Selon l'étude "L'addiction des enfants aux écrans en France", environ 50 % des enfants âgés de 3 à 17 ans utilisent des écrans plus de trois heures par jour.
Comme nous vivons dans un monde de plus en plus numérique, ce chiffre augmente progressivement.
L'étude a également révélé que l'utilisation des écrans entraîne un manque de sommeil, l'obésité et une diminution de la capacité d'attention ou peut créer de l’hyperactivité.
L'une des raisons pour lesquelles les écrans peuvent réduire la capacité d'attention est qu'ils stimulent constamment nos sens.
Lorsque nous sommes constamment bombardés de nouvelles informations, il peut être difficile de se concentrer sur une tâche pendant une période prolongée.
Les écrans peuvent créer un mode de vie sédentaire.
Concernant les jeux vidéo, les enfants de moins de 10 ans ne font pas la distinction entre le réel et le virtuel.
Les enfants et les jeunes qui passent trop de temps devant un écran peuvent présenter les signes suivants. Ils peuvent être:
• solitaires,
• tristes,
• très fatigués,
• anxieux ou craintifs,
• isolés des amis ou de leur famille,
• renfermés,
• nerveux,
• agités ou tendus,
• agressifs ou en colère.
Ils peuvent aussi éprouver des débordements émotifs et des difficultés à se faire et à garder des amis.
Si en plus l’enfant ne pratique pas d’activité physique, on peut ajouter : mal de dos, mal à la tête ou des maux d’estomac
Pourquoi les enfants sont-ils accros aux écrans ?
1. Les enfants sont énergétiquement connectés. Les écrans leur offrent un monde virtuel qui est complètement en phase avec ce qu’ils sont.
2. Les concepteurs de jeux vidéo les conçoivent afin qu’ils soient addictifs.
3. Selon certains experts, l'une des raisons pour lesquelles les enfants sont dépendants des écrans est qu'ils sont constamment stimulés par les couleurs vives et les images sur les écrans.
Ce que vous avez déjà essayé :
Peut-être avez-vous essayé la menace ou la punition pour que votre enfant sorte de son écran.
J’ai même eu connaissance de parents qui ont jeté ou cassé des consoles ou des téléphones (qu’ils avaient préalablement achetés ) parce qu’ils n’arrivaient pas à se faire respecter.
Selon vous comment va réagir un enfant lorsque vous agissez de telle sorte avec lui ?
Il va vous haïr et il va peut-être entretenir cette haine une vie entière.
Dans le même temps, il se crée de la résistance dans le corps de votre enfant, qui se traduit sous forme de stress, et vous êtes donc en train de détruire son corps (maux divers, maladie etc…).
Comment faire ?
Pour que votre enfant ne devienne pas accro aux écrans et que dans le même temps vos relations puissent être des plus harmonieuses qui soient, voici ce que vous devez faire.
Retenez tout d’abord qu’un enfant se construit par rapport à ce qu’il observe alors qu’un ado a le désir de s’affirmer.
Donc, vis-à-vis d’un enfant, analysez déjà votre comportement. Si vous êtes vous-même accro à votre téléphone portable, votre jeu vidéo ou votre télévision, il va déjà falloir vous changer vous.
Concernant un ado, il veut s’affirmer.
Plus vous chercherez à le contrôler plus il aura tendance à fuir dans les jeux vidéo ou autres écrans pour retrouver un peu de liberté.
Aussi bien dans le cas des enfants que dans celui des ados, vous devez instaurer des règles.
Dans la mesure du possible, ces règles devront être mises en place avant l’acquisition de l’écran en question.
C’est la 1 ère règle : Nous faisons l’acquisition de ta console, ton téléphone etc… à condition que… (par exemple qu’il pratique un sport).
Voici ce qui est recommandé par la Société canadienne de pédiatrie et la Société canadienne de physiologie de l’exercice :
• Moins de 2 ans : pas d’écran
• 2 à 4 ans : 1 heure maxi par jour
• 5 à 17 ans : 2 heures maxi par jour
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Votre enfant est possessif, comment le gérer - JP LE BON
Avez-vous un enfant qui est possessif envers ses jouets, ses amis ou les membres de sa famille ? Ce comportement peut être difficile à gérer, mais avec un peu de compréhension et de patience, il peut être surmonté. Dans cette vidéo, nous abordons les causes de la possessivité chez les enfants et nous proposons des conseils pour les aider à la surmonter.
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CONTENU DE LA VIDÉO :
Aujourd’hui nous abordons un sujet que vous aurez à vivre un jour ou l’autre en tant que parent.
Il s’agit des fois où votre enfant refusera catégoriquement de partager ses jeux.
A la fin de cette vidéo, vous saurez comment gérer la possessivité de votre enfant.
Constat :
Tout enfant traverse une période de sa vie au cours de laquelle il ne veut pas partager ses affaires.
C’est souvent avec force et colère qu’il va arracher son jeu des mains d’un quelqu’un en disant « Touche pas ! C’est à moi ! ».
Cette période se situe généralement entre 2 et 4 ans.
Avant de vous mettre en colère contre votre enfant, sachez que c’est une réaction normale concernant la construction de sa personnalité.
Il doit se créer son territoire et se prouver à lui-même et aux adultes qu’il existe et que ce droit lui appartient.
Naturellement, à chaque fois que votre enfant jouera avec d’autres enfants, ce type de réaction donnera lieu à des crises et situations conflictuelles.
Votre enfant se sentant attaqué sur son territoire pourra facilement en venir aux mains (l’attaque généré par son cerveau reptilien).
Naturellement, vous allez devoir expliquer à votre enfant qu’il doit partager ses affaires, mais armez-vous de patience.
Cette façon de faire que nous voyons chez les enfants de moins de 5 ans va perdurer jusqu’à ce que l’enfant décide de changer de lui-même.
Comment gérer ces situations ?
Assurez-vous que certains jeux soient effectivement sa propriété exclusive.
Vous veillerez alors à ce que ces jeux ne soient pas à la portée d’autres enfants.
Il doit pouvoir affirmer que ces jeux lui appartiennent afin qu’il s’épanouisse correctement.
En gardant ces jeux séparément des autres, il gardera cette conscience qu’il a un territoire bien défini qui lui appartient.
Ensuite, étant donné que votre enfant va surtout reproduire vos façons de faire, lorsque vous partagez vos affaires, faites-le lui remarquer.
Si par exemple vous prêtez un livre ou votre tondeuse à un ami, montez-le lui afin qu’il voit que c’est « normal » de partager.
Encouragez votre enfant à partager et faites-lui remarquer à quel point son comportement est apprécié de tous. Une fois de plus, distinguez son comportement de ce qu’il est lui-même.
Si vous dites par exemple qu’il est méchant parce qu’il ne partage pas ses jeux, vous l’attaquez personnellement et non pas son comportement.
Remplacez cette façon d’agir par « Tu sais combien j’apprécie que tu partages tes jeux. Tu permets à ton ami de s’amuser également ».
Si votre enfant a des frères et sœurs et qu’ils ont des jouets identiques, identifiez-les de façon précise. Les jeux de l’un ne sont pas la propriété de l’autre.
Lorsque des amis viennent jouer avec lui, prenez le temps nécessaire pour bien expliquer les règles concernant le partage de jeux.
Vous pouvez par exemple lui dire : « Ces jeux ci t’appartiennent et on ne va pas les prêter à tes amis. Vous allez donc jouer ensemble avec les autres jouets, ceux que tu peux partager ».
Vous pouvez aussi dire : « Lorsqu’un jeu est par terre, n’importe qui peut le prendre. On ne prend pas un jeu qui est dans la main de quelqu’un. Si un jeu est dans ta main, tu peux le garder. On ne joue qu’avec 1 seul jouet à la fois ».
Edictez ces règles à ses amis également.
Observez comment se comporte votre enfant lorsqu’il est chez les autres. Il est très certainement moins possessif car il n’est pas sur son territoire.
Concernant les enfants de moins de 2 ans, c’est à vous de surveiller leurs jouets car ils sont trop petits pour comprendre.
Lorsque 2 enfants se disputent pour le même jouet, utilisez l’outil magique indispensable à la maison si vous avez de jeunes enfants « le minuteur ». Vous réglez le minuteur et lorsqu’il sonne, l’enfant doit prêter le jouet à l’autre.
Si un jouet suscite toujours des conflits malgré tout, retirez ce jouet de la portée des enfants pendant quelques minutes. Vous mettez le jouet au coin.
Suite dans la vidéo...
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Comment parler de drogue avec les ados - JP LE BON
Si vous êtes parent, il est important que vous sachiez comment parler de la drogue avec vos enfants. Dans cette vidéo, nous vous proposons des conseils pour y parvenir. Nous vous aiderons à créer un dialogue ouvert avec vos enfants et à leur donner les informations dont ils ont besoin pour prendre des décisions sûres et éclairées sur les drogues.
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CONTENU DE LA VIDÉO :
Nous abordons aujourd’hui un sujet qu’il peut être délicat pour vous d’aborder avec vos ados mais auquel ils vont devoir faire face un jour ou l’autre, la drogue.
A la fin de cette vidéo, vous saurez comment faire pour parler de ce sujet sensible avec vos ados.
Constat :
Nous vivons dans un monde où la drogue, bien qu’interdite, circule beaucoup dans les lieux où les ados sont regroupés.
Ca peut être le lycée, les concerts, ou tout simplement les sorties entre amis.
C’est un phénomène qui touche le monde entier.
Selon l'Observatoire européen des drogues et des toxicomanies, environ 26% des jeunes de 15 à 24 ans en France ont essayé des drogues au moins une fois dans leur vie.
Les drogues sont souvent considérées comme un moyen pour les ados de se rebeller contre leurs parents et la société.
Cependant, vous le savez, les drogues peuvent également être très nocives pour les ados et entraîner une dépendance et d'autres problèmes de santé.
Ce que vous avez essayé :
Peut-être avez-vous cherché à mettre votre ado en garde en lui disant que ce n’est pas bien de se droguer.
Peut-être que vous avez tenté de lui faire comprendre que vous ne tolérerez pas la consommation de drogues à la maison et qu'il y aura de graves conséquences s'il est pris en train d'en consommer.
C’est bien…
Il va sans dire que si vous consommez vous-même de la drogue que votre discours est inutile.
Par expérience, nous savons que placer des interdits avec des « punissions » n’est pas non plus la meilleure façon d’éduquer les enfants puisqu’en le faisant, vous stimulez l’ego de votre ado qui fera tout pour prouver qu’il est « grand » et que c’est lui qui décide.
Alors, comment vous y prendre ?
La solution :
La solution consiste comme toujours à permettre à votre ado de prendre conscience des conséquences avant qu’il en fasse l’expérience.
L’Être humain est attiré de façon naturelle par le plaisir. Que se passe-t-il si vous ne parlez pas du sujet de la drogue avec vos ados ?
Un jour où l’autre, ils seront confronté au problème. Ce jour-là, celui qui fera découvrir la drogue à votre ado lui présentera le côté « plaisir » de la drogue.
C’est pour ça qu’il est facile de tomber sous le coup de la dépendance.
Pour éviter cela, avant que votre ado puisse être en contact avec la drogue, faites-lui prendre conscience de tout le côté « souffrance » de la drogue.
Etant donné que l’Être humain n’aime pas souffrir, il ne sera pas tenté d’expérimenter le jour où on cherchera à lui faire essayer.
Evidemment, tout ceci est beaucoup plus facile à mettre en place si vous avez au préalable instauré une relation de confiance avec votre ado.
Pour y arriver, vous devez comprendre qu’il est essentiel de ne pas vous braquer contre votre ado.
C’est certainement le moment de la vie où l’ego est à son maximum car votre ado doit s’affirmer pour devenir adulte.
Dans vos conversations, vous devez y aller avec le maximum de douceur assortie d’une grande fermeté car vous devez être intransigeant sur les conséquences qu’il doit assumer en ne respectant pas certaines règles.
Concrètement, commencez tout d’abord par parler à vos ados des risques liés à la consommation de drogues.
Expliquez-leur pourquoi vous ne voulez pas qu'ils consomment des drogues et ce qui pourrait arriver s'ils le font.
Préparez votre spitch. Rassemblez toutes les preuves des souffrances liées à la drogue.
Si vous en avez la possibilité, faites-le visiter un endroit où il pourra prendre conscience de l’effet néfaste de la drogue.
Ensuite, faites en sorte d'être accessible.
Faites savoir à vos ados qu'ils peuvent venir vous voir s'ils ont des questions ou des préoccupations concernant les drogues.
Enfin, apportez votre soutien. Faites savoir à vos adolescents que vous êtes là pour eux, quoi qu'il arrive.
Je le répète, cette relation de confiance est essentielle pendant la période de l’adolescence.
Si vous souhaitez mettre en place une éducation à travers laquelle vous voulez prouver à votre ado que c’est vous le chef à la maison, vous courrez le risque qu’il fasse tout l’inverse de ce que vous lui demandez.
Responsabilisez votre ado en lui laissant de façon générale un maximum de libertés, assorties de conséquences à subir. Cette façon de faire doit être adaptée lorsque sa sécurité n’est pas engagée.
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Comment parler de sexualité avec les ados - JP LE BON
Il peut être difficile de savoir comment parler de sexualité avec des adolescents. Dans cette vidéo, nous vous proposons des conseils pour avoir des conversations ouvertes et honnêtes sur la sexualité avec votre adolescent.
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CONTENU DE LA VIDÉO :
Constat :
Comment parler de sexe aux ados lorsque nous-mêmes adultes avons du mal à en parler ?
Le sexe est un sujet tabou et a toujours été au cœur de l’évolution des différentes civilisations.
Mais alors ? Pourquoi a-t-on toujours cherché à dissimuler cet aspect de la vie ?
C’est pourtant à travers la sexualité que la vie se créé. Et la vie est la chose la plus merveilleuse qui puisse exister. Donc, la sexualité devrait être vécue comme une expérience divine.
Si depuis la nuit des temps on a cherché à cacher voir réprimer la sexualité, c’est tout simplement parce qu’il s’agit de l’énergie la plus puissante présente chez l’Être humain.
En vous privant d’expériences divines, et en les remplaçant par de la frustration ou de la culpabilité, c’est une fois de plus un moyen de vous contrôler afin de vous empêcher d’être en contact avec votre véritable pouvoir.
Il est vrai que lorsque cette puissante énergie est mise à disposition de ceux qui ne savent pas la maîtriser, il peut y avoir des conséquences dramatiques.
Au lieu d’apprendre aux gens à maîtriser ce pouvoir, on préfère placer des interdits, ce qui crée davantage de frustrations et amène nullement la personne à se maîtriser.
Parler de sexe avec votre adolescent peut être une conversation difficile. Mais il est important qu'ils connaissent les faits, afin qu'ils puissent prendre de bonnes décisions et rester en sécurité.
Ce que vous avez essayé :
Peut-être que vous avez tenté d’en parler avec votre ado et qu’il a mis court à la conversation qui n’a duré que quelques secondes. Vous vous êtes quand même senti soulagé en vous disant : « C’est bon, j’ai fait mon devoir ».
Sauf que quelques secondes de discussion c’est comme si vous aviez tenté de démarrer votre voiture mais qu’elle n’a pas démarré.
C’est un sujet trop important pour qu’il soit bâclé en quelques secondes.
Peut-être que votre discussion sur le sujet avec votre ado s’est limité à cette phrase : « Surtout, pense à te protéger !».
J’ai moi-même vécu avec ce tabou et je n’ai pas su parler de sexualité avec mes enfants, jusqu’à ce que je comprenne le caractère sacré de la sexualité et la raison pour laquelle on cherche à ne pas en parler ouvertement.
Les solutions :
Comment faire pour parler ouvertement de sexualité avec votre ado ?
Tout d’abord, s’il s’agit d’un sujet qui n’a pas réellement été abordé dans la famille, je vous recommande d’instaurer des réunions hebdomadaires ou mensuelles au cours desquelles vous allez pouvoir aborder différents sujets.
Bien sûr, ne commencez pas par le sujet de la sexualité mais traitez en priorité des sujets faciles à en parler.
Avant d’aborder ce sujet qui peut être délicat, il est important d’instaurer d’abord une relation de confiance avec votre ado.
Cette confiance se construit essentiellement par le non-jugement.
Vous devez apprendre à écouter ce que vous dit votre ado sans le critiquer. Lorsqu’il vous transmet un secret, gardez-le pour vous. S’il se sent trahis, il va fermer toute communication avec vous.
Votre ado est en train d’expérimenter la vie et il fera obligatoirement des erreurs. Vous êtes là pour le conseiller, pour lui partager vos expériences et en aucun cas pour lui faire savoir qu’il a mal agit.
Lorsque vous le jugez ou critiquez, vous ne faites que détruire l’estime qu’il a de lui-même et brisez la confiance entre vous.
Voici quelques conseils sur la façon dont vous pouvez avoir cette conversation avec votre adolescent de manière à ce qu'il se sente à l'aise pour en parler :
Une façon de parler de sexualité avec les adolescents est de commencer par leur demander ce qu'ils savent sur le sexe. Ca vous aidera à évaluer leur niveau de compréhension et à déterminer les sujets que vous devez aborder plus en détail.
Vous pouvez également leur poser des questions sur leurs propres expériences et sentiments. En échange, offrez-leur des conseils et des informations basés sur vos propres expériences.
Vous pouvez peut-être faire ressortir les conséquences négatives que vous avez eu par manque de communication sur le sujet avec vos parents.
Faites comprendre également à votre ado ce qui pourrait arriver si jamais il donne naissance à un enfant.
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Comment expliquer les émotions aux enfants - JP LE BON
Il peut être difficile d'expliquer les émotions aux enfants, mais il est important qu'ils les comprennent. Dans cette vidéo, nous vous expliquons par exemple le mécanisme complet d'une émotion afin que vous puissiez l'expliquer à vos enfants.
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CONTENU DE LA VIDÉO :
Aujourd’hui nous parlons d’un sujet qui face auquel les parents sont souvent démunis car ils ont eux-mêmes des difficultés à répondre aux questions de leurs enfants concernant ce qui est de l’ordre de l’énergie.
A la fin de cette vidéo, vous saurez comment expliquer à vos enfants ce que sont les émotions.
Constat :
Dès leur naissance, vos enfants ont à expérimenter les différentes émotions.
Il y a 2 types d’émotions : celles qui font du bien et celles qui font mal.
On les nomme généralement « émotions positives » et « émotions négatives ».
Qu’elles soient positives ou négatives, il est important que vos enfants puissent expérimenter l’ensemble des émotions. De même qu’ils apprennent à ne pas toucher quelque chose de chaud, ils doivent comprendre qu’il n’est pas agréable d’expérimenter des émotions négatives.
Nos émotions sont notre système de guidance, une sorte de GPS qui nous fait savoir quand on est sur notre chemin de vie et quand on s’en éloigne.
Les émotions nous fournissent de l’énergie, celle-là même que nous utilisons pour activer la loi de l’attraction.
Savoir gérer ses émotions revient à avoir la capacité de créer la vie que l’on désire.
Une émotion est une réaction affective passagère (environ 90 secondes) alors qu’un sentiment a un caractère durable.
Selon les différentes théories, on distingue 7 émotions de base :
• L’Amour
• La joie
• La colère
• La peur
• La tristesse
• La honte
• Le dégoût
Une émotion permet de comprendre ce qui se passe à l’intérieur de soi et permet de réagir de façon appropriée face à ce que nous vivons.
Quelque soit la culture, les émotions sont identiques.
On peut vivre 2 émotions en même temps (envie et peur).
Les émotions transforment le corps à l’extérieur (traits du visage) et à l’intérieur (production d’hormones).
Les solutions :
Apprendre à vos enfants dès qu’ils sont en âge de comprendre qu’une émotion est une sensation qui va apparaître en eux suite à la perception qu’ils vont avoir d’un événement.
Faites des exercices avec eux afin qu’ils ressentent 1 à 1 les différentes émotions.
Apprendre à votre enfant qu’il a la possibilité d’agir sur ses émotions, donc sur son état émotionnel.
Leur faire prendre conscience que gérer leurs émotions leur permettra d’être heureux, de ressentir la vie en eux, de s’aimer et d’aimer les autres.
Pour aider vos enfants à se libérer d’une émotion négative (colère…), faites leur savoir que vous les comprenez. Être entendu permet de se libérer d’une émotion.
Une émotion réprimée ressortira toujours plus tard. Aidez donc vos enfants à exprimer leurs émotions.
Les aider à prendre conscience des déclencheurs de leurs émotions.
Expliquer le mécanisme d’une émotion :
• L’événement factuel (perçu par les sens)
• La perception (+ ou -)
• La production d’hormones (+ ou -)
• Le ressenti dans le corps
• L’impact sur le corps
• La nécessité d’évacuer l’émotion
Face à une perception négative : instinct de survie, attaque ou fuite.
Les neurones miroir font que nous ressentons les émotions des autres. Les émotions sont donc contagieuses.
Voici ce que vous pouvez proposer à votre enfant de faire la prochaine fois qu’il vivra une émotion :
• Peur : Courir, crier, pleurer, trembler.
• Colère : Taper des pieds, lancer des peluches par terre, froisser un papier, dessiner, crier dans un oreiller.
• Tristesse : Pleurer, demander un câlin, écrire une lettre.
• Honte : Parler à une personne de confiance qui ne le juge pas.
• Dégoût : Faire un dessin de dégoût et le jeter à la poubelle, dire « beurk ! C’est pas juste » à quelqu’un de confiance. Dans le cas d’une trahison ou d’une injustice, parvenir à accepter que l’autre est libre et que la souffrance n’est liée qu’à la non-acceptation.
Apprendre à vos enfants à se protéger des mots cailloux (qui blessent) en imaginant qu’ils ont une armure.
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Comment empêcher vos enfants de toucher à tout - JP LE BON
Les enfants sont curieux par nature et touchent tout ce qu'ils voient. Cela peut poser problème lorsqu'ils se trouvent dans un endroit où ils ne devraient pas toucher les objets, comme la cuisine. Voici quelques conseils pour empêcher vos enfants de toucher à tout.
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CONTENU DE LA VIDÉO :
Je vais vous parler aujourd’hui d’un sujet qui agace souvent les parents et qui peut vous perturber vous aussi lorsque vos enfants sont petits et qu’ils partent à la découverte du monde.
A la fin de cette vidéo, vous saurez comment empêcher vos enfants de toucher à tout.
Constat :
Quoi de plus naturel pour un enfant de toucher à tout ? Il arrive dans un monde qu’il doit découvrir afin de s’épanouir.
Comme il découvre, il est souvent maladroit, ce qui exaspère les parents.
Quelques fois il peut casser des objets, mais il peut aussi mettre sa vie en danger (lorsqu’il cherche par exemple à insérer un objet dans une prise de courant ou qu’il avale quelque chose avec lequel il peut s’étouffer).
Il est de votre devoir de parent de trouver le juste équilibre entre son plein épanouissement, qui passera obligatoirement par la découverte, donc le fait de toucher à tout, et sa sécurité ainsi que celle de son entourage.
A partir de 2 ans il peut commencer à comprendre ce qui est autorisé et ce qui ne l’est pas, à condition que vous lui donniez le bon apprentissage, mais votre enseignement doit commencer dès le plus jeune âge.
Plus l’enfant grandit, plus ses chances de se blesser augmentent.
Ce que vous avez essayé :
Peut-être que vous avez déjà cherché à lui mettre une claque sur les mains et à le gronder dès que vous le voyez toucher à quelque chose d’interdit. Cette façon de faire va encourager votre enfant à faire ses « bêtises » lorsque vous ne le voyez pas.
Les solutions :
Faites que votre maison soit un lieu de parfaite sécurité pour votre enfant :
• Pas de chaises ou autre moyen d’escalade à proximité des garde-corps
• Barrière au niveau des escaliers
• Four à porte froide si celui-ci est à portée de votre enfant
• Pas de vaisselle cassante dans le bas des placards de la cuisine ou condamnez les portes
• Fermez à clés les portes des lieux qui ne peuvent pas être sécurisés (salle de bains)
• Pas de produits dangereux qui pourraient être ingérés à leur portée
• Déplacez-vous dans votre maison sur les mains et les genoux afin de prendre conscience des dangers potentiels
• Installez des cache-prises ou des prises de sécurité
• Posez un canapé ou un fauteuil devant des endroits où des prises sont branchées
• Retirez les meubles à angles vifs
• Attention aux petits objets que votre enfant pourrait avaler
• Ne laissez pas votre enfant sous surveillance lorsqu’il est dans une situation potentiellement dangereuse (baignoire, chaise haute…)
• Tournez les manches des casseroles vers l’intérieur lorsque vous cuisinez
• Pas de présence de ficèles (jouets, tétine autour du cou…)
Déterminez avec lui ce qu’il est permet de toucher et ce qui ne l’est pas.
Retirez les objets fragiles et coûteux de sa portée. Avant 3 ans, il ne peut pas faire la différence entre quelque chose de banal et un objet de valeur.
Il faut établir les règles d’accès aux zones interdites : « Tu peux aller dans le bureau de papa uniquement si tu es en notre compagnie ».
Installez un tableau à sa hauteur ou faites-en un sur un pan de mur afin que votre enfant puisse dessiner en toute liberté.
Faites savoir à votre enfant que vous n’appréciez pas le fait qu’il ait transgressé les règles (d’aller dans le bureau de maman sans y être accompagné). Vous devez relever son comportement sans abaisser l’enfant lui-même.
S’il répète successivement des interdits, coupez net en instaurant un temps mort (assis sur une chaise, aller au coin…). 1 minute par année d’âge (minuteur). S’il ne va pas jusqu’au bout, relancez le minuteur. Cette technique est très efficace car votre enfant ne reçoit pas votre attention pendant son temps mort.
Faites remarquer à votre enfant son bon comportement.
N’empêchez pas votre enfant de toucher (frustration), mais apprenez-lui à toucher avec ses yeux (il peut quand même toucher, mais de façon différente).
Comme toujours, ne laissez pas votre enfant avoir du pouvoir sur vous en vous mettant en colère.
Ne frappez pas votre enfant, vous lui prouvez que nous n’êtes pas en mesure de vous contrôler (faible), et vous ne feriez qu’instaurer de la méchanceté en lui.
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Comment gérer le comportement agressif de votre enfant - JP LE BON
Le comportement agressif des enfants peut être difficile à gérer. Il est important de savoir comment le gérer pour qu'il ne s'aggrave pas. Dans cette vidéo, nous vous proposons des conseils pour gérer le comportement agressif de votre enfant.
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CONTENU DE LA VIDÉO :
Nous parlons aujourd’hui d’un sujet qui n’est pas toujours simple de gérer et qui peut vous mettre souvent dans l’embarras auprès d’autres parents.
Dans cette vidéo, vous saurez comment gérer le comportement agressif de votre enfant.
Constat :
Un enfant de moins de 6 ans peut vous lancer à la figure n’importe quel objet qu’il a dans les mains, que cet objet soit dangereux ou non.
La raison est que la notion de discernement n’est pas encore acquise par ces jeunes enfants. Lancer une balle ou un verre, c’est pareil.
C’est pour cette raison que les blessures se réveillent dans les premières années de vie.
Ce que vous avez essayé :
Il n’est pas simple de rester calme face au comportement agressif de votre enfant.
Ne pas utiliser l’agressivité contre l’agressivité (vous êtes son modèle).
Ne pas vous fâcher, vous ne feriez que lui donner le pouvoir d’agir sur vos émotions.
Les solutions :
Dès le plus jeune âge, apprenez à votre enfant les comportements inacceptables (frapper, mordre, lancer, taquiner, crier) et ceux qui sont permis (câlin, bisous, parler).
Pour cela, établissez des règles claires (le prix à payer) et soyez ferme sur le respect de ces règles.
En préventif :
Surveillez le comportement des amis avec lesquels il joue. S’ils ont des comportements agressifs, agissez immédiatement afin que votre enfant ne les reproduise pas.
Surveillez votre comportement lorsque vous êtes en colère. Si vous jetez des objets par exemple, il en fera autant.
Lorsqu’il est au calme, expliquez lui comment se sent une personne qui a eu à subir un comportement agressif afin qu’il prenne conscience que ce n’est pas une expérience agréable.
Les solutions :
• Expliquez à votre enfant par quoi il peut remplacer son agressivité (mots, autre comportement). Qu’il prenne conscience qu’il peut s’exprimer autrement. Vous pouvez par exemple lui apprendre à dire « Je ne joue plus ». Répétez cette phrase avec lui plusieurs fois afin qu’il l’enregistre consciemment.
• Félicitez le comportement de votre enfant lorsqu’il agit correctement envers les autres. « C’est bien de partager tes jouets » et non pas « Tu partages tes jouets, tu es gentil ».
• Lorsque vous réprimandez son comportement agressif, faites-le en 3 étapes :
1. Donner l’ordre d’arrêter « Arrête de frapper ton frère ! »
2. Lui donner un comportement de rechange « Si tu es en colère, tu arrêtes de jouer avec lui ».
3. Lui expliquer la raison pour laquelle vous intervenez « Les coups font mal ».
S’il continue malgré tout, vous pouvez ajouter « Temps mort ! ».
Ne revenez jamais sur un événement passé, vous ne feriez que l’encourager à recommencer.
Source : Se faire obéir sans crier, de Barbara UNELL et Jerry WYCKOFF
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Votre enfant est insolent ? Comment faire ? JP LE BON
Si votre enfant est insolent et que vous ne savez pas comment le gérer, cette vidéo est faite pour vous ! Découvrez nos conseils pour faire face à un enfant insolent.
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CONTENU DE LA VIDÉO :
Aujourd’hui nous parlons d’un sujet que vous avez peut-être eu à vivre avec votre enfant et qu’il est bon de maîtriser pour la bonne éducation de celui-ci.
A la fin de cette vidéo, vous saurez comment réagir lorsque votre enfant est insolent afin que ce type de comportement disparaisse au plus vite.
Constat :
Votre petit ange grandi et un jour vous entendez des mots horribles sortir de sa bouche. Vous n’en revenez pas. Où a-t-il entendu cela ? Comment peut-il être aussi insolent ?
Lorsque votre enfant vous répond de façon insolente, en fait, c’est qu’il cherche à vous dominer.
Si votre réaction n’est pas appropriée, vous risquez d’aggraver la situation au lieu de la solutionner.
Ce que vous avez essayé :
Vous êtes souvent démuni devant les gros mots et les insultes de votre enfant. Peut-être avez-vous cherché à le punir mais ça n’a rien changé.
Peut-être que la solution que vous avez trouvé a été de crier plus fort que votre enfant afin de lui montrer « c’est qui le chef à la maison ».
Peut-être avez-vous-même utilisé ce que vous avez dû subir lorsque vous étiez à sa place : la fameuse fessée ou peut-être de laver la bouche de l’enfant avec du savon .
Toutes ces façons d’agir amène au même résultat :
• Soit la situation ne fait qu’empirer car la colère crée davantage de colères.
• Soit votre enfant arrête effectivement d’être insolent car vous avez créé tellement de peurs en lui qu’il n’ose plus le faire. Dans pareil cas, vous êtes parvenu à vos fins mais le prix à payer sera lourd de conséquences car vous avez détruit l’estime qu’il a de lui.
Les solutions :
• Votre enfant apprend le langage à travers ce qu’il entend. Evitez de le mettre en contact avec les langages insolents (enfants, adultes, télévision…) et vous-même, surveillez votre langage.
• Parlez donc à votre enfant comme vous aimeriez qu’il vous parle. Si les formules de politesse sont importantes pour vous, soyez poli avec votre enfant afin qu’il soit poli avec vous.
• Pensez également à vous excuser lorsque c’est nécessaire afin qu’il le fasse également lorsqu’il prend conscience qu’il a mal agi.
• Expliquez-lui que quelques fois, ce ne sont pas ses mots qui sont insolents mais la façon dont il les prononce (ex : je n’ai pas envie de le faire).
• Distinguez clairement ce qu’est un propos insolent. S’il refuse d’obéir par exemple, ce n’est pas de l’insolence mais des jérémiades (plaintes, lamentations).
• Dès lors que vous lui avez fait prendre conscience 1 fois de ce que sont des mots insolents, faites en sorte de ne plus porter d’attention lorsqu’il les prononce. Sinon vous donnez du pouvoir à ces mots et cela devient un jeu pour lui. Ce jeu n’est intéressant que s’il le joue à 2.
• Félicitez votre enfant lorsqu’il répond correctement à vos demandes.
• Lorsque vous enfant prend conscience que son insolence vous met en colère, il gagne du pouvoir sur vous. Apprenez donc à rester calme pour garder votre position d’autorité.
• Si vous répondez à votre enfant en criant, vous ne faites que lui donner l’exemple de ce qui ne faut pas faire. Respectez votre enfant pour qu’il vous respecte en retour.
• Ne punissez pas votre enfant parce qu’il a été insolent. Les punitions enseignent la peur, pas le respect.
Source: "Se faire obéir sans crier" de Barbara unell et Jerry wyckoff
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Comment gérer les crises de colère de vos enfants ? - JP LE BON
Les crises de colère peuvent être difficiles à gérer, tant pour les parents que pour les enfants. Dans cette vidéo, nous vous proposons des solutions pour gérer les crises de colère de manière efficace et en minimisant le stress pour toutes les personnes concernées.
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CONTENU DE LA VIDÉO :
Nous abordons aujourd’hui un sujet qui intéresse la majorité des parents car il vise à mettre en place un climat de sérénité au sein de la famille.
A la fin de cette vidéo, vous saurez comment gérer les crises de colère de votre enfant.
Constat :
Si vous êtes parents, vous avez assisté un jour ou un autre à une crise de colère de votre enfant.
Votre enfant est imprévisible, il peut réagir très violemment avec des crises de colère sans prévenir.
Il n’est pas simple de savoir comment faire face à une crise de colère chez l'enfant, surtout quand vous ne savez pas ce qui a déclenché la colère.
Les enfants sont plus émotifs que nous, et il est facile pour eux d'être frustrés.
Votre enfant peut se sentir mieux si vous savez comment réagir au lieu d'essayer simplement "de le calmer".
C’est difficile d’élever un enfant et quand votre petit bout devient agressif parce que vous lui avez refusé une glace ou le laisser jouer à ses jeux électroniques pendant les repas. Ce type de situation se dégénère et c’est souvent de grosses disputes entre vous et votre conjoint.
Ce que vous avez essayé :
Vous avez peut-être déjà essayé :
• Le chantage
• La menace
• La négociation
Vous avez peut-être cherché à le « dresser » comme on dresse un animal de compagnie.
Quelques solutions ont peut-être fonctionné 1 ou 2 fois, mais les fois suivantes ça ne marchait plus.
Vous avez dû vous poser plus d’une fois cette question : « Comment faire pour le calmer ? ».
Le mieux que vous avez trouvé c’est certainement les récompenses : « Si tu te calmes, tu vas avoir telle chose ». Mais les récompenses ne doivent pas être utilisées dans toutes les situations sinon l’enfant ne comprend pas les vraies raisons pour lesquelles il doit se calmer.
Votre enfant ayant comme vous un ego, une situation de dominant / dominé va se mettre rapidement en place si vous n’y portez pas attention
Les solutions :
• Accepter l’idée que pour pouvoir apprendre à gérer ses émotions, votre enfant doit expérimenter les différentes émotions, dont la colère.
• Vous devez comprendre que vous êtes le modèle de votre enfant. Il va donc reproduire ce qu’il va observer de vous. Si vous n’êtes pas en mesure de maîtriser vos émotions, vous ne pouvez pas exiger de lui qu’il le fasse. Vous devez donc travailler d’abord sur vous afin de pouvoir rester calme dans toutes les situations.
• Ne portez surtout pas d’attention lorsque votre enfant « pique une crise » de colère car ce serait pour lui un moyen idéal d’avoir votre attention (chose recherchée par tout enfant)
• A l’inverse, portez-lui de l’attention lorsqu’il sait rester calme et faites-lui remarquer à quel point il est agréable de vivre dans le calme.
• Mettre en place des règles claires du comportement afin de définir à l’avance du « prix à payer » lorsque les règles ne sont pas respectées (différent de la punition).
• Distinguez votre enfant de son comportement (Ex : ce n’est pas parce qu’il n’a pas su gérer sa colère que c’est un « mauvais garçon »).
• Veillez au bon équilibre de son système nerveux (écrans, sommeil, musiques violentes, films violents etc…).
• Sachez communiquer avec lui en utilisant son canal sensoriel.
• Utilisez un langage positif (vous créez des images mentales dans son Subconscient), sinon vous envoyez le message contraire de ce que vous voulez dire.
• Surveillez son alimentation (ex : sodas, sucreries = acides).
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Comment gérer les enfants qui disent toujours non - JP LE BON
Aujourd’hui nous allons aborder un sujet que tout parent a à connaître au cours de l’évolution de la vie d’un enfant. Le fameux NON.
A la fin de cette vidéo, vous saurez comment faire pour que ces refus systématiques de votre enfant soient vécus par vous comme quelque chose de naturel.
- Constat :
Entre 1 et 3 ans, le mot le plus prononcé par votre enfant est certainement « NON ».
Il se trouve que c’est également le mot le plus prononcé par les parents à l’égard de leurs enfants.
Etant donné que votre enfant doit découvrir son environnement et améliorer sa perception sensorielle, il est normal qu’il touche à tout.
En vous observant dire toujours non, lorsque vous lui demandez quelque chose, sa réponse sera « NON ».
- Pourquoi apprendre à votre enfant à ne pas dire toujours non.
Pour éviter que vous ne soyez en colère.
Pour veiller à ce qu’il fasse ce que vous estimez bon pour lui.
Pour éviter de lui donner du pouvoir sur vous.
- Comment gérer les enfants qui disent toujours non.
Arrangez-vous pour laisser un maximum de liberté à votre enfant (tant que sa sécurité n’est pas engagée).
Rectifiez son comportement sans prononcer le mot « NON » -- « STOP ».
Lorsque vous lui posez une question, éviter les questions fermées par lesquelles il doit répondre par oui ou par non. Proposez un choix.
En prévention :
Apprenez à bien connaître votre enfant car le « NON » signifie quelques fois « OUI ».
Ne refusez pas systématiquement si la situation vous permet de dire oui (ouvrez votre esprit =quelles conséquences réelles ?).
Exercice à pratiquer : Dans un moment de calme, prenez votre enfant par la main et dites-lui « Viens ici stp ». Serrez-le dans vos bras et remerciez-le d’être venu. Répétez l’exercice 5 fois par jour en augmentant progressivement la distance entre votre enfant et vous. Au final, appelez-le lorsqu’il est à l’autre extrémité de la pièce.
Les solutions :
Supposez que son « NON » signifie « OUI » et voyez sa réaction.
Apportez davantage d’attention au « OUI » qu’au « NON » afin que son « NON » ne soit pas une occasion d’attirer votre attention. Félicitez-le lorsqu’il répond « OUI ».
Exercice : Apprenez à votre enfant à dire oui pour qu’il comprenne que vous appréciez son « OUI ». « Je vais te demander un service, je veux que tu répondes oui avant que j’ai compté jusqu’à 5 ». Félicitez-le. Répéter l’exercice 5 fois par jour pendant 5 jours.
Accordez à votre enfant le droit de dire non. Ex : « Je comprends que tu n’as pas envie de ranger ta chambre, mais quand tu l’auras fait, je pourrai te lire ton histoire » Tu as le droit de dire oui, mais c’est moi qui décide.
A éviter :
Ne pas l’encourager à dire non (rires, remarques etc… il attire votre attention).
Vous mettre en colère apporte à votre enfant attention et pouvoir. C’est en gardant votre sang froid que vous pourrez vous faire respecter.
Source : « Se faire obéir sans crier » de Barbara Unell et Jerry Wyckoff -
Comment gérer le refus de manger de votre enfant - JP LE BON
Si votre enfant refuse de manger, cela peut être frustrant et inquiétant. Dans cette vidéo, nous vous proposons des conseils pour faire face à un enfant qui ne veut pas manger. Qu'il s'agisse de comprendre les raisons de ce comportement ou d'utiliser le renforcement positif, ces conseils vous aideront à remettre votre enfant sur la bonne voie en matière d'alimentation !
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CONTENU DE LA VIDÉO :
Comment gérer le refus de manger de votre enfant ? C’est ce que nous allons voir au cours de cette capsule.
Aujourd’hui nous voyons un sujet que tout parent a eu à vivre tôt ou tard et qui vous permettra de savoir comment agir sans crier bien sûr.
A la fin de cette vidéo, vous saurez comment faire pour que le moment du repas soit un véritable moment de plaisir partagé.
- Constat :
o Les enfants de moins de 6 ans préfèrent découvrir le monde plutôt que de passer beaucoup de temps à table à apprécier leur repas.
o Ne pas confondre un refus de manger occasionnel à une quelconque maladie.
- Quelles sont le mesures préventives ?
o Etant donné que vous êtes un modèle pour votre enfant, vous-même vous ne devez pas sauter de repas.
o Ne critiquez pas (même en plaisantant) sa morphologie (ex : trop rond). Même à 3 ans un enfant peut se soucier de son poids si vous le lui faites remarquer.
o Ne mettez pas non plus en avant le fait qu’il soit mince.
o Renseignez-vous sur la quantité de nourriture qu’il doit avoir selon son poids et son âge.
o Fixez une heure de repas pour créer un automatisme en lui.
- Comment gérer le refus de manger de votre enfant ?
o Laisser votre enfant manger souvent, des aliments sains, en petites quantités. Son estomac est plus petit que le vôtre. Un apport régulier en énergie lui sera favorable.
o Laissez-le choisir entre 2 aliments (parmi ceux que vous lui proposez), puis félicitez-le pour son choix.
o Proposez-lui une alimentation variée, avec des couleurs, des consistances, des parfums différents.
o Attendez-vous à des changements rapides de ses goûts.
o Vérifiez ce qu’il aura consommé au cours d’une semaine entière (pas sur 1 journée) avant de vous faire une opinion sur son appétit.
o Félicitez votre enfant lorsqu’il mange en lui disant que c’est bon pour son corps et qu’il a ainsi l’énergie nécessaire pour jouer. Il aura votre attention. Souvent, il peut ne pas manger juste pour avoir votre attention.
o Utilisez un minuteur pour le temps qu’il doit rester à table, qu’il mange ou pas. Adaptez ce temps selon son âge.
o Surveillez les temps où il a faim afin de vous adapter à son rythme.
- Les choses à ne pas faire :
o Ne pas offrir de récompense lorsqu’il mange.
o Ne pas le supplier s’il n’a pas envie de manger, sinon il le fera pour avoir de l’attention et lui donnera l’impression qu’il vous domine.
o Ne soyez pas contrarié par son refus de manger.
o Ne parlez pas de son refus de manger devant les autres.
Source: "Se faire obéir sans crier" de Barbara unell et Jerry wyckoff
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Comment gérer les enfants qui se lèvent la nuit - JP LE BON
Dans cette vidéo, nous allons vous donner quelques conseils sur la façon de gérer les enfants qui se lèvent la nuit. De l'établissement d'une routine du coucher à la création d'un environnement calme et relaxant, nous vous aiderons à mettre fin aux nuits blanches !
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Je vais vous parler aujourd’hui d’un sujet qui vous permettra, si vous êtes parents et que vos enfants se lèvent la nuit, de passer des nuits bien plus confortables.
A la fin de cette vidéo, vous saurez comment faire pour que vos enfants puissent dormir une nuit complète, pour le bienfait de tous.
- Constat :
o Les enfants de moins de 6 ans font tout pour que vous restiez avec eux la nuit (nouvelle histoire, se glisse dans votre lit…).
o Retenez que pour son équilibre nerveux, votre enfant a besoin de sommeil.
- Pourquoi gérer les enfants qui se lèvent la nuit ?
- Comment gérer les enfants qui se lèvent la nuit ?
o Leur faire prendre conscience que plus vite ils s’endormiront et plus vite ils vous retrouveront.
o Si votre enfant vous appelle de son lit, allez voir ce qui se passe. S’il n’est pas malade, embrassez-le, serrez-le dans vos bras au maximum 30 secondes et quittez sa chambre en lui disant sur un ton ferme et affectueux qu’il est l’heure de dormir.
o Discutez des règles du coucher à n’importe quel autre moment que celui du coucher :
Nombre de verres d’eau auquel il a droit avant d’aller se coucher.
Nombre de fois qu’il peut aller aux toilettes.
Le nombre d’histoires que vous pouvez lui raconter.
o L’OMS recommande de laisser bébé dormir dans votre chambre jusqu’à 6 mois.
o C’est aux parents de décider du moment où bébé doit dormir dans sa propre chambre. Il faut veiller à ce que la transition se fasse en douceur afin que l'enfant se sente en toute sécurité. Le meilleur moyen pour cela, c’est d’habituer votre bébé à dormir dans la chambre la journée (siestes). Passez du temps avec lui dans sa chambre en journée pour qu’il se sente à l’aise. Des photos de vous dans sa chambre peuvent également l’aider à se sentir en confiance.
o La chambre de bébé doit être aux environs de 19°.
o Instaurer un rituel du coucher.
o En établissant les règles du coucher, créez une conséquence positive au fait qu’il fasse sa nuit complète (sortie au parc, badge…), ainsi qu’un prix à payer s’il ne l’a pas respecté. Posez-vous la question : « Quel bénéfice retire mon enfant lorsqu’il nous réveille ? ».
o Soyez FERME sur le respect des règles (ce travail vous incombe) : S’il vient dans votre lit, le raccompagner dans sa chambre en lui rappelant la règle que chacun doit dormir dans son lit.
o Respectez votre parole afin de gagner la confiance et le respect de votre enfant.
o Si votre enfant cri alors que tout va bien (caprices), laissez-le crier. GARDEZ VOTRE CALME. Mesurez le temps de ses cris qui se réduiront au fur et à mesure. S’il n’a aucun intérêt à crier, il ne le fait pas.
o Surtout pas de menaces (ex : « si tu te lèves le méchant loup va te manger » ou « tu auras une fessée »), sinon vous engendrez des peurs en lui.
o Ne parlez pas à votre enfant de loin. Vous devez le regarder dans les yeux. Sinon, interprété par votre enfant comme un manque d’Amour à son égard.
o Installez une veilleuse si nécessaire.
o Si votre bébé s’endort sur la tété, gardez ce rituel mais réduisez le temps petit à petit.
o Un changement à la fois (lait, chambre, habitudes…).
o Et le cododo ?... Si ça convient à tout le monde.
Source: Se faire obéir sans crier de Barbara Unel et Jerry Wyckoff
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Comment gérer le moment difficile du coucher des enfants - JP LE BON
La partie la plus difficile de la vie de parent est sans aucun doute de mettre vos enfants au lit le soir. Vous connaissez la routine : après une longue journée d'école et de jeux, c'est l'heure du bain, du brossage des dents, de la lecture d'histoires et, enfin, du coucher. Mais comme tous les parents le savent, c'est souvent plus facile à dire qu'à faire.. Découvrez comment faire dans cette vidéo.
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CONTENU DE LA VIDÉO :
« Aujourd’hui, nous allons parler d’un problème que vous devez savoir gérer si vous êtes parents : le moment difficile du coucher des enfants ».
« A la fin de cette vidéo, vous saurez faire pour que ce moment délicat ne fasse plus partie de votre quotidien ».
- Constat :
o Les enfants, qui sont des boules d’énergie ont rarement envie d’aller dormir. Cela signifie déjà pour eux d’arrêter de jouer.
o Les classiques : « Viens me chercher ! », « Tu me lis une autre histoire stp ? », crise de larmes…
o A mesure qu’il grandit, l’enfant a moins besoin de sommeil. Pensez à raccourcir les siestes par exemple.
o Les enfants n’ont pas tous besoin de la même quantité de sommeil.
- Comment gérer ce moment difficile du coucher ?
o L’heure du coucher doit être clairement définie et vous parents devaient rester fermes.
o Ceci dit, accordez à votre enfant une période de transition pour qu’il puisse se préparer au sommeil : donc, définir une heure pour aller au lit (ou dans sa chambre) et une heure pour s’endormir.
o Réserver un moment de tête à tête au moment du coucher : Faire de cet instant un moment de plaisir. Vous pouvez lui raconter une histoire dans un livre ou un événement que vous avez vécu au cours de la journée.
o Veillez à ce que votre enfant se dépense suffisamment au cours de la journée.
o Laissez suffisamment de temps entre la sieste et le sommeil.
o Jouez avec votre enfant avant d’annoncer qu’il est l’heure d’aller se coucher. Pas de jeux excitant.
o Définissez l’heure et son temps de sommeil en l’observant au cours de la journée (sieste, pas sieste, coucher à 21 h au lieu de 20 h…).
o Exercices à pratiquer :
Course contre la montre : Environ 1 h avant le coucher, placez un minuteur pour les différentes choses qu’il a à faire (se laver les dents…). S’il termine avant il pourra jouer davantage.
Garder toujours le même rituel même s’il doit se coucher exceptionnellement à une heure décalée : Accélérer le processus.
Respectez l’ordre du rituel (bain, dents, pyjama…) en lui demandant d’énumérer lui-même les différentes étapes.
o A éviter :
Lui laisser décider de l’heure de son coucher.
Pas de menaces pour aller se coucher : risques de cauchemars et engendre des peurs.
Pas de punition ou de remontrances s’il a refusé de se coucher à l’heure.
Source : Se faire obéir sans crier – Barbara Unell et Jerry Wyckoff
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Comment aider ses enfants à respecter la planète - JP LE BON
Cette vidéo est une excellente ressource pour les parents qui souhaitent aider leurs enfants à développer un respect pour la planète. Elle fournit des conseils sur la manière de donner l'exemple à vos enfants et traite de l'importance de leur enseigner la conservation et la durabilité.
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CONTENU DE LA VIDÉO :
- Constat :
• Le mode de fonctionnement de nos sociétés actuelles nous mène droit dans le mur.
• 75 % des terres émergées sont considérablement dégradées. Nous n’avons plus suffisamment de terres pour nourrir la population = changer ses habitudes.
• Si cette tendance se poursuit, 95 % des terres de la planète pourraient être dégradées d'ici 2050.
• Selon une enquête menée dans dix pays, près de 60 % des jeunes de 16 à 25 ans se disent très inquiets ou extrêmement inquiets face au changement climatique.
• 4 jeunes sur 10 hésitent à avoir des enfants.
- Pourquoi aider ses enfants à respecter la planète ?
• Parce que ce sont les futurs locataires de la terre.
• Vous pouvez commencer à en parler dès le plus jeune âge (5/6 ans) = 9 ans.
• Expliquer le réchauffement climatique simplement : système naturel qui permet de maintenir la chaleur sur terre qui s’est accéléré il y a 150 ans (rejet de CO2).
• L’augmentation de la température amène des conséquences météorologiques.
• Trouver des mots pour rassurer vos enfants sans toutefois leur mentir (la nature s’adapte toujours et l’homme a cette faculté d’adaptation).
• Exemples que les enfants peuvent mettre en œuvre pour respecter la planète :
o Utiliser son vélo pour se déplacer au lieu d’un véhicule motorisé.
o Prendre une douche au lieu d’un bain (2 à 3 fois moins d’eau).
o Eteindre les lumières.
o Manger des fruits et légumes de saison et de proximité.
o Fabriquer son goûter au lieu d’aliments transformés emballés.
• Exemples que les parents peuvent donner aux enfants :
o Privilégier le vrac.
o Éviter l’utilisation de produits en plastique jetables.
o Mettre en place un moyen de mesure des déchets produits à la maison.
o Éviter toute forme de gaspillage (30 % de la nourriture produite est gaspillée). Applis pour la douche : AMPHIRO B1
o Acheter uniquement ce dont vous avez besoin et vérifiez les dates de péremption.
o Prendre conscience des viandes les plus consommatrices d’énergie : le bœuf, l’agneau et le porc. Tentez peut-être les saucisses végétariennes.
o Limitez vos déplacements en voiture.
o Acheter des jeux éco responsables.
o Installer un composteur à la maison, trier ses déchets.
o Sensibiliser les enfants au fait que nous faisons tous partie de la nature : faire des balades et des jeux en forêt…
o Rapprochez-vous d’associations ou de groupes de personnes sensibilisés par le sujet.
o Instaurer cet aspect dans vos réunions de famille hebdomadaires.
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Savoir dire non à ses enfants - JP LE BON
Savoir dire non à ses enfants peut être une tâche difficile, mais c'est important pour leur développement. Dans cette vidéo, nous vous apportons des conseils pour fixer des limites.
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CONTENU DE LA VIDÉO :
- Constat :
• Priver ses enfants de liberté les empêche de s’épanouir mais une éducation sans limite amène au non-respect.
• Les enfants ont besoin de repères. Les parents sont là pour mettre en place ces repères.
• Tous les parents ont en eux la capacité de se faire obéir et de se faire respecter.
• L’enfant attend d’emblée que les parents exercent leur autorité, tout en le respectant.
• Pour pouvoir s’épanouir, l’enfant est en quête permanente d’autonomie. Il faut lui laisser un maximum de possibilités de découverte.
• Lorsque l’enfant est livré à lui-même, il se retrouve face à une image chaotique du monde et de lui-même. Il ne sera pas préparé à affronter les réalités de la vie.
• Le comportement de l’adulte conditionne la personnalité de l’enfant.
• La difficulté des parents d’asseoir leur autorité provient de leur propre enfance.
• Etre trop autoritaire ne laisse que 2 choix à vos enfants : soumission ou rebellion.
- Pourquoi ?
• Savoir dire non à ses enfants lorsque cela est nécessaire contribue à apprendre à vos enfants les limites qu’ils ne doivent pas dépasser (respect, sécurité…).
- Comment savoir dire non à ses enfants ?
• En plaçant des balises à travers des règles de conduite, l’adulte défini les règles du jeu et fait comprendre à l’enfant qu’il n’est pas le centre du monde.
• Posez des limites en fonction de l’âge de votre enfant (évolution).
• Adressez-vous à votre enfant bien avant qu’il ne sache parler.
• En instaurant un rythme à vos enfants et en leur faisant vivre l’expérience d’un univers affectif, vous placerez votre future autorité.
• Lorsque vous, parents, n’êtes pas d’accord entre vous, ne jamais le faire paraitre devant vos enfants.
• « L’autorité parentale » se met en place sur de nombreuses années.
• Placer les limites selon l’âge :
o 0-1 an : Mettre en place progressivement des rythmes réguliers dans l’alimentation et le sommeil. Lorsque vous répondez correctement à ses besoins, le bébé comprend qu’il a tout à fait intérêt à collaborer.
o 1-2 ans : Mettre en place des interdits et des repères. L’enfant explore le monde : Il commence à marcher, à parler, à toucher à tout : Vigilance. Ne maîtrise pas encore le repas autonome. Lui donner une alimentation équilibrée. Il est normal qu’il mange peu. Ne pas forcer, sinon il reproduira ce conflit à d’autres événements. Ne surtout pas dire « Tu n’es pas gentille de ne pas faire pipi avant de partir ». Pour le sommeil : être ferme en posant des repères. Cet âge demande beaucoup de patience et de tolérance.
o 2-3 ans : Résistance contre l’autorité. Ce comportement est vital à l’enfant. Il teste également votre capacité à rester ferme et calme. Une fois les colères passées, discuter pour expliquer et comprendre. L’enfant veut essentiellement s’affirmer, pas transgresser les limites.
o 3-5 ans : Affirmation de sa personnalité. Cherche à s’identifier au parent du même sexe. Va être influencé par l’extérieur. Entretenir avec les Maîtresses et Maîtres d’école une relation de confiance. Ne peut pas exiger de l’enfant qu’il soit poli. Attention aux écrans.
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Comment se faire obéir sans crier - JP LE BON
Cette vidéo explique comment faire en sorte que vos enfants vous obéissent sans que vous ayez à élever la voix.
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CONTENU DE LA VIDÉO :
- Constat :
• Les enfants ont besoin de s’affirmer pour exister à part entière.
• Les attentes des parents ne correspondent pas toujours à ceux de leurs enfants.
• L’Être humain étant attiré de façon naturelle par le plaisir, tout ce qui aura un caractère déplaisant sera plus ou moins rejeté par l’enfant (de même que par l’adulte).
• Lorsque vous criez, vous donnez à votre enfant la preuve que vous ne savez pas maîtriser vos émotions. Etant donné que vous êtes son modèle, il en fera autant.
• En criant vous agressez votre enfant. Son cerveau reptilien va répondre par l’attaque ou la fuite (colère). Lorsque cette colère est contenue, elle est néfaste pour votre enfant.
• Le travail sur vous (maîtrise de vos émotions) est tout aussi important que ce que vous cherchez à enseigner à votre enfant.
• Lorsque vous criez, votre enfant reçoit de l’attention de votre part. Il va alors chercher à vous faire crier pour avoir de l’attention. Accordez-lui donc du temps dans le calme.
• Lorsque vous criez ou frappez votre enfant, vous lui enseignez la violence.
- Pourquoi se faire obéir sans crier ?
• Pour vivre paisiblement.
• Pour apprendre à votre enfant à gérer des situations dans le calme.
• Pour vous faire respecter par votre enfant.
• Pour faire de votre enfant quelqu’un de respectueux.
- Comment se faire obéir sans crier ?
• Placez-vous au niveau de l’enfant, regardez-le dans les yeux et exprimez-vous en gardant tout votre calme.
• Remplacez le « Il ne faut pas faire ceci » par « lorsque tu fais ceci, voilà ce qui se passe. Tu n’aimerais pas vivre cela, n’est-ce pas ? ».
• Si votre enfant est déjà entré dans une grande colère, laissez-le évacuer sa colère en l’observant sans rien dire. Il est préférable pour lui d’exprimer sa colère plutôt que de ta garder en lui. Ensuite = « Ca y est ? Tu es calmé ? ».
• Distinguez bien votre enfant de son comportement. Ce n’est pas un imbécile parce qu’il n’a pas répondu à vos attentes (risque de détériorer son estime de lui).
• Ayez des propos clairs et précis = Ex : « Je veux que tu sois ordonné » ne veut rien dire. Remplacez par « Tu pourras aller jouer lorsque tous tes jeux seront rangés ».
• Apprenez à votre enfant à faire ses demandes envers vous de façon claire et posée (pas de gémissement).
• Complimentez ses actions mais pas lui : « J’apprécie que tu… » plutôt que « tu es gentil de… ».
• Ne revenez pas sur ce qui est passé. Votre enfant doit absolument expérimenter.
• Techniques à mettre en œuvre :
o Le minuteur.
o Faites l’éloge de ses bons comportements (pas de lui).
o Profitez des moments de calme pour faire passer vos enseignements.
o Instaurez des règles et des conséquences et affichez-les. Ne dites pas « Si tu fais… » mais « Quand tu auras fait… ».
o Pour le coucher : fixez l’heure du coucher qui doit être la même chaque jour. Accordez-lui un moment pour se préparer tranquillement au sommeil.
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Principes simples de développement personnel pour nos enfants - JP LE BON
Cette vidéo a pour but d'enseigner aux enfants des principes simples de développement personnel afin qu'ils deviennent des adultes heureux et épanouis.
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CONTENU DE LA VIDÉO :
- Constat :
• Plus vous placez un tuteur à un arbre tôt, plus il est simple à l’arbre de pousser droit.
• Le développement personnel, c’est grandir de ses expériences.
• Le développement personnel, c’est une question de bon sens.
- Pourquoi apprendre le DP aux enfants d’une façon claire ?
• Pour qu’ils vous comprennent.
• Pour qu’ils acceptent vos conseils facilement.
- Pour vous les parents :
• Les règles doivent être claires (consignées par écrit), établies avec vos enfants et assorties d’un prix à payer.
• Utiliser des outils physiques adaptés à leur âge (tableau, fiches pratiques…).
• Prévoir de passer du temps avec vos enfants (quotidien et hebdomadaire).
- Quels sont les principes simples du DP pour vos enfants ?
• Ce sont leurs propres décisions qui amènent aux résultats :
o Ex : Carte mentale OUI / NON
• Ils ont mal uniquement parce qu’ils n’acceptent pas :
o Ex : Leur dernière colère qui les a fait souffrir.
• En fin de journée, permettez-leur de reconnaître leurs émotions :
o De 5 à 7 mois : Reconnait visuellement et auditivement les émotions de base comme la peur, la joie, la surprise, la colère, le dégoût et la tristesse.
o 2 ans : capable de verbaliser et de catégoriser certaines émotions de base agréables ou désagréables (J'aime, je n'aime pas).
o 3 ans : L'enfant est capable d'identifier et de verbaliser la joie.
o 5 / 6 ans : L'enfant est capable d'identifier et de verbaliser la peur, la tristesse et la colère.
o 6 / 10 ans : L'enfant est capable d'identifier et de verbaliser la surprise et le dégoût.
• L’enfant (jusqu’à 7 / 8 ans) est en permanence en état d’hypnose :
o Demandez-lui ce qu’il a ressenti (l’image qu’il s’en ait fait) et aidez-lui à transformer cette image.
• Aidez-les à distinguer les 2 types d’émotions : Amour et Peur.
• Leur faire prendre conscience de l’aspect de la perception.
• Exemple de temps d’échange quotidien (au moment du coucher) :
o « Raconte-moi ta journée stp ! » (communication, permet à l’enfant de s’exprimer).
o « Qu’est-ce que tu as ressenti lorsqu’il s’est passé telle chose ? » (prend conscience de ce qui se passe à l’intérieur de lui, de ses émotions).
o « Selon toi, c’est de l’Amour ou de la peur ? » (permet d’identifier l’énergie qui lui fait du bien de celle qui ne lui convient pas).
o Lorsqu’il a vécu un événement douloureux : « Comment aurais-tu pu faire autrement pour ne pas avoir mal ? » (lui permet de trouver des solutions).
o « Que peux-tu faire pour que ce problème ne se reproduise plus ? » (lui permet de grandir de l’expérience).
o Lui faire prendre conscience à quel point il a été un enfant remarquable au cours de sa journée (estime de soi).
o Avant de s’endormir : « Si tu dois Raconte-moi comment va se dérouler ta journée de demain lorsque tu auras choisi de vivre uniquement des situations d’Amour » (loi de l’attraction, construction de ses désirs).
o Terminer par : « Je t’aime…, bonne nuit ».
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Aider ses enfants à être heureux - JP LE BON
Aider vos enfants à être heureux est l'une des choses les plus gratifiantes que vous puissiez faire en tant que parent. Mais ce n'est pas toujours facile, et il existe de nombreuses façons d'y parvenir. Nous allons donc explorer certaines de ces approches dans cette vidéo.
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- Constat :
• Les enfants ont besoin d’être accompagnés. Leur éducation est indispensable.
• Ils vont construire leur personnalité entre 0 et 6 ans environ.
• Les parents sont souvent attentionnés à construire leur sécurité qu’ils négligent l’éducation.
• Certains parents pensent que c’est à l’éducation nationale de se charger de cette éducation.
- Pourquoi aider ses enfants à être heureux ?
• Parce que c’est la condition essentielle d’une vie réussie.
• Pour qu’ils puissent générer en permanence cette merveilleuse énergie de vie.
• Pour qu’ils soient en bonne santé.
• Pour que vous soyez vous-même heureux.
• Pour qu’ils soient des modèles pour le monde.
• Pour sauver le monde.
- Comment aider ses enfants à être heureux ?
• En leur expliquant le côté nocif de l’attachement.
• En leur apprenant à s’aimer et à se respecter.
• En inculquant en eux le concept de liberté (pour eux-mêmes et envers les autres).
• En leur apprenant à accepter le fait qu’ils ne pourront pas contrôler les événements mais qu’ils pourront choisir leurs réactions face à ceux-ci.
• En leur transmettant le goût à l’effort (tout se mérite).
• En leur apprenant dès le plus jeune âge à comprendre et à gérer leurs émotions.
• En faisant d’eux des enfants autonomes.
• En leur expliquant que l’opinion des autres n’a aucune valeur.
• En leur permettant de renforcer chaque jour leur confiance en eux.
• En ne les jugeant pas.
• En les encourageant à vivre de très nombreuses expériences et d’en tirer systématiquement des leçons.
• En leur faisant faire du sport.
• En leur permettant de pratiquer une activité artistique (dessin, peinture, musique, danse…).
• En les aidant à organiser leur vie.
• En les accompagnant à se fixer des buts et des objectifs.
• En les enseignant le concept de la perception afin qu’ils puissent regarder systématiquement le bon côté des choses.
• En leur expliquant le concept des blessures et comment les gérer lorsqu’elles se réveillent (prises de conscience, EFT…).
• En partageant des moments de joie avec eux. Ces souvenirs seront des piliers auxquels ils pourront se raccrocher tout au long de leur vie.
• En veillant à ce qu’ils ne s’imposent pas à vous (pas de sacrifice).
• En agissant avec eux avec calme et fermeté (savoir fixer des limites).
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